jeudi 30 août 2012

Vendredi avant la rentrée

DW = une partie opposant la flotte française aux prussiens. Les prussiens déploient entre autres leur dirigeable porte-avions (avec le pont monté à l'envers comme souvent, mais chut...) et leurs frégates
nouvellement décorées (superbes !)

Les gros français présentent leur cuirassé Charlemagne et de nombreux croiseurs. Il semble que les navires français soient globalement légèrement moins puissants que les autres. Les avions ont joué un grand rôle, ainsi d'ailleurs que les "explosions par sympathie" (explosion d'un navire provoquée par celle d'une navire proche). Au final, un match nul avec une légère avance des prussiens.

FoW N°1 = Italiens contre US Sud tunisien.
Un match défensif des italiens, avec plein d'artillerie légère, contre les américains avec des chars (des M10.

Idem pour l'autre match FoW, allemands contre anglais nord Tunisie.

Tactique : un match destiné à tester le nouveau système d'activation stratégique, donc un match niveau initiation sur un terrain neutre.
Chose exceptionnelle, j'ai gagné mais de très peu, 5 à 4 et le résultat s'est joué à 1 jet de dé.

Au déploiement, les autrichiens se placent par brigades autour de leurs officiers. Le premier mouvement est fait au centre mais immédiatement suivi par un mouvement stratégique de la brigade de gauche. Les français
répliquent en avançant leur aile droite mais la soutiennent par un mouvement stratégique au centre. La partie continue avec une avance régulière sur l'aile gauche autrichienne et une avance limitée à droite, d'autant plus limitée que le mouvement ne peut rapidement plus être stratégique, les troupes étant trop proches de l'ennemi.



A l'aile gauche, les choses s'engagent mal pour les français avec une série de dés très favorables aux autrichiens. Rapidement, nous nous retrouvons avec 3 unités françaises détruites contre 1 (qui a fait une
attaque kamikaze sur l'artillerie) mais 2 unités autrichiennes sont réduites à 1 seule plaquette. L'artillerie française, mieux positionnée, bloque l'avance des autrichiens qui ont essayé de relancer l'attaque
vers l'aile droite, leur cavalerie se faisant menaçante mais ne se décidant pas à attaquer seule. Tandis que les autrichiens essayent désespérément de rameuter des troupes à l'aile droite, la cavalerie française qui avait fait des mouvements stratégiques de son aile gauche vers le centre se décident à attaquer. Il ne reste aux autrichiens sur cette aile que 4 unités intactes et 2 artilleries plus 2 unités réduites à 1 plaquette. Les autrichiens essayent de faire le plus de mal possible aux attaquants et détruisent 1 des 2 plaquettes des dragons plus le sous-général mais ne peuvent pas achever cette unité et donc l’attaque.
Les lanciers attaquent 1 artillerie et les autres attaquent de l'infanterie. L'artillerie s'échappe par une retraite hâtive et une plaquette d'infanterie tombe mais la contre attaque détruit les dragons et une partie des hussards et des lanciers.

Les français lancent leurs dernières forces dans la bagarre. Ils savent que si la plaquette restante d'une de ces unités tombe, c'est fini mais que les autrichiens doivent encore perdre 2 unités. Les lanciers attaquent une unité de 2 plaquette avec un maximum de bonus, soit 5 dés.
 Ils font 4 pertes soit 2 fois plus que nécessaire. Les lanciers poursuivent et vont sur la dernière plaquette... Le dé n'indique pas de piéton mais un drapeau, ce qui fait reculer l'unité en bord de table, hors de portée des hussards. Les autres troupes autrichiennes montent à la curée et la dernière plaquette de lanciers tombe, me donnant la victoire, d’extrême justesse.

Bilan, un très bon jeu très souple. André reste toujours le grand manœuvrier qu'il est. Heureusement que les dés m'ont bien aidé au début et à la fin.

:-)
JB





 

 








vendredi 24 août 2012

Tournée des boîtes 1


Pas de CR pour la soirée de vendredi dernier (Dystopian War et Avranches). Pour nous faire pardonner, on vous emmène en bouate :))
Mais non président ! Je ne vais pas mettre en péril les finances du club, il s'agit juste d'évoquer cet incontournable du figuriniste : les boîtes ! Certains se sont offerts un sac avec les petites mousses qui vont bien mais, que celui qui n'a jamais obligé les siens à se gaver pour récupérer la boîte en fer blanc me jette le biscuit !). Une petite plaque aimantée sous le socle des figurines et le transport et la conservation s’en trouvent facilité.

On sait le Jtiste perfectioniste, en voici une preuve supplémentaire avec les boîtes customisées d’Olivier, alias le charognard, petit pois ou encore Mumu.


Et oui, Olivier a donné beaucoup de classe à ses deux boîtes avec un simple bombage noir et une illustration qui annonce le contenu : sobre et efficace. Je vous laisse imaginer la qualité des figs.

Les cavaliers, le camp et les tirailleurs

L'infanterie
Vous aurez reconnu une splendide armée nippone en 28 mm pour DBA !



Allez, je la ferme ... la boîte et le post.
Jé, ouvre-boîte


mercredi 8 août 2012

Projet Tactique 28mm qui fait des petits...

Artilleries et ligne
    

Olivier voit son armée se construire petit à petit suivra la garde et la cavalerie


en cours de finition Cambronne et Christiani

un officier lisant ses ordres

de la légère

En cours de finition Michel

des suisses

dimanche 5 août 2012

Chez André annexe JTI 83


 Dès le début, les anglais attaquent par l'aile gauche (la leur, à droite sur les photos prises par les français). Les français occupent le bois en face et déploient 2 pièces d'artillerie dont une d'élite. Les anglais alignent 8 unités d'infanterie dont une de légère (à 4 plaquettes) et une d'élite, avec 1 batterie d'artillerie. Leur cavalerie est plus loin en soutien. En face, les français ont 9 unités d'infanterie dont leur élite, 2 batteries d'artillerie et la cavalerie en soutien .

A noter que André alignait sa nouvelle unité de légers anglais , juste finie de peindre.

L'infanterie anglaise la plus à gauche attaque d'abord le bois puis glisse vers les batteries françaises. La batterie d'élite évite l’attaque par un retrait rapide mais l'autre tente de tenir et d'écraser ses attaquants. Mal lui en prend car elle est éliminée, même si l'unité anglaise n'a plus qu'une plaquette. C'est aux français de
contre-attaquer. Ils choisissent une attaque de cavalerie  avec l'idée de détruire d'abord l’unité réduite à 1 plaquette avec les hussards puis de briser avec les mêmes hussards et les chasseurs à cheval l'unité de légers. Réduits à 2, unités les derniers anglais ne seraient plus que de la chair à pâté pour les cuirassiers et les
lanciers. Mais tout rate. Les hussards et les lourds ne peuvent détruire la malheureuse plaquette restante et les cuirassiers doivent reculer jusqu'à leur bord de table en perdant 1 plaquette sur 2. Les lanciers ne font aucun mal à l'autre unité qui est restée soutenue et les chasseurs à cheval perdent la moitié de leur force sur les légers sans les entamer .

Tandis que les restes de la cavalerie se font tailler en pièces, c'est au tour de l'infanterie de monter à l’assaut. Les troupes anglaises aventurées se replient avec des pertes mais la balance reste de 4 à 2.
Alors, les français ramènent des troupes et lancent attaque après attaque contre le plateau où la batterie anglaise les épuise les unes après les autres. Certes, il ne reste quasiment plus d'unités anglaises intactes mais 7 ou 8 unités françaises sont réduites à une plaquette.
L'aile est épuisée . Il suffit aux anglais d'une dernière poussée appuyée par l’artillerie pour faire tomber la dernière plaquette de la 8ème unité perdue et pour leur donner une victoire 8 à 2.

En fait, la bataille a été beaucoup plus disputée que le score ne le montre et le nombre total de plaquettes perdues est impressionnant (35 contre 15 ou à peu près de mémoire). Pour les seuls français, les 8
unités perdues ne totalisent que 21 plaquettes. Les 14 autres proviennent d'une dizaine d'autres unités...

Au total une superbe bataille.

JB